- Une vie, éd. Catherine Robert-Lazès et Marc Robert, Paris, Hachette, nouv. éd., Classiques Hachette, Romans XIX^e n°104, janvier 2007, 319 p. (2,90 euros)

Ouvrages
- Michel Viegnes, Boule de suif, La Parure, Paris, Hatier, Profil d’une œuvre, nouv. éd., décembre 2006, 80 p. (4,50 euros)

- Jean des Cars, Dictionnaire amoureux des trains, dessins d’Alain Bouldouyre, Paris, Plon, octobre 2006, 782 p. (24 euros)
Comporte un article : « Maupassant », p.402-403 contenant un extrait du Rosier de Mme Husson.

Articles et contributions à des actes de colloques
- Marc Boujnah, « France 2 adapte Maupassant. C'est le coup classique », VSD, n°1532, 3 au 9 janvier 2007, p.88-89.
Interviews de Noëlle Benhamou et Gérard Jourd’hui.

- Antonia Fonyi, « Délire et connaissance fantastique de la réalité : Aurélia de Nerval et Le Horla de Maupassant », dans Figures du fantastique dans les contes et nouvelles, sous la dir. de Francis Cransac et Régis Boyer, Rencontres de l'Aubrac 2004, [s.l.], Publications Orientalistes de France, Association A la Rencontre d'Ecrivains, octobre 2006, p.93-103.

- Mathilde Labbé, « Ce que le cinéma fait de « Boule de suif » », dans « Ce que le cinéma fait à la littérature (et réciproquement) », Fabula LHT (Littérature, Histoire, Théorie), n°2, décembre 2006, URL :
http://www.fabula.org/lht/2/Labbe.html
Article à compléter par les travaux de Jean-Marie Dizol, Norbert Czarny, Marcel Oms et Michel Serceau (Maupassant de l’écrit à l’écran) et Jean Serroy (« D'une guerre l'autre. Boule de suif (1870-1945) », Recherches et Travaux, Université de Grenoble, n°42, 1992, p.119-128).

Matériel audiovisuel
Erotica, Anthologie volume I, Paris, l’Etrange Collection, 2006, 1 DVD (20 euros).
Contient La Chevelure (1961), adaptation du conte de Maupassant par Ado Kyrou avec Michel Piccoli.


Evénements
Maupassant sur Europe 1
L’émission Escapades du 16 décembre 2006 (14h-15h), animée par Marc Menant sur Europe 1, était consacrée à Maupassant et au pays de Caux. Dans « Fécamp et le Pays de Caux : sur les traces de Guy de Maupassant », est intervenue Martine Quéval, guide au service du patrimoine de Fécamp. Pour écouter l’émission, allez sur le site de la station de radio Europe 1 :
http://www.europe1.fr/antenne/references.jsp?id=1965&pos=1965&periode=1#

Vente aux enchères des lettres de Claude Monet
Mille lettres ont été vendues aux enchères le samedi 13 décembre 2006 par le descendant de Claude Monet. Il s’agit de lettres adressées au peintre entre 1879 et 1926 par d’illustres contemporains, parmi lesquels Octave Mirbeau, Maupassant et Sacha Guitry. 116 lettres ont été achetées par le Musée d’Orsay. Lire à ce sujet des articles en français :
http://www.artcurial.com/communique/pdf_press/monet.pdf
http://www.lefigaro.fr/culture/20061209.FIG000000949_mon_cher_monet.html
http://www.art-marche.com/article-4868850.html
et en italien :
http://www.artfaq.it/modules/news/article.php?storyid=2433
http://www.ilmeridiano.info/articolo.php?Rif=3910

Vente d’écrits érotiques et pornographiques
Un millier d'ouvrages de littérature érotique, datés de 1527 à 1975 et rassemblés dans la Bibliothèque de Gérard Nordmann, un industriel bibliophile suisse, ont été vendus aux enchères chez Christie’s à Paris au cours de deux sessions, le 27 avril et en novembre 2006. Cette collection de littérature érotique unique au monde se compose de livres, manuscrits, lettres et documents d’auteurs divers. Maupassant y figure en bonne place. Description des pièces en vente :
- « Recueil factice de dessins de Guy de Maupassant sans mention de lieu ni de date, In-8 (213 x 140 mm), 12 ff. sur simili-Japon : 3 ff. blancs, lettre autographe d'une page (202 x 133 mm) signée à l'encre sur un feuillet double de papier quadrillé monté sur onglet. Dix dessins non signés (plume et encre de Chine) au recto d'enveloppes de vergé gris perle (60 x 100 mm) montés deux par deux sur 5 ff. ; 4 ff. bl. Maroquin bordeaux signé René Aussourd, dos à nerfs, titre doré. Encadrement de filets dorés et à froid sur les plats intérieurs.
Précieux ensemble de croquis érotiques de Maupassant enrichi d'une lettre autographe signée. La lettre autographe, non datée, s'adresse à « Mon cher Louis », qu'il remercie de son hospitalité et auquel il annonce son arrivée prochaine à Etretat. La signature « Guy », dont l'Y final se prolonge d'un paraphe tourbillonnant terminé par le petit dessin d'un phallus, s'accorde au registre de cet album sans titre mais sans équivoque : dix croquis à l'encre montrant des scènes d'acrobaties érotiques dans un style caricatural très amusant. L'un des dessins, légende « La bonne de Louis », fait peut-être allusion au cousin Louis Le Poittevin, destinataire présumé de la lettre. Ce lot appartenait au docteur André Chauveau (ex-libris), vente à Paris par Loliée, 1976, lot 326. Estimation : 8 000/12 000 euros. »
En fait, ces dessins ont déjà paru dans l'opuscule suivant : Guy de Maupassant, Dessins érotiques inédits, présentés par le petit-neveu de Joseph Prunier et précédés de Lettres à Louis Le Poittevin et Robert Pinchon, Paris, Les Editions du Bouche-Trou, [s.d. fin du XX^e], 30 p. Ils faisaient partie de lettres adressées à Louis Le Poittevin et à La Tôque (Robert Pinchon).
- le poème pornographique « Ma Source », Paris, Edition des Trois, 1929. In-4 (216 x 163 mm), comprenant un fac-similé du manuscrit de l'auteur, 12 illustrations libres gravées à l'eau-forte en couleurs et 8 vignettes libres en noir sur bois, non signées, par André Collot. Reliure moderne en maroquin bleu pâle, dos à nerfs, titre doré, tête à dorure mate, couvertures et dos (dos de la reliure passé). Edition originale posthume de ce poème érotique de Maupassant, illustré par André Collot. Tirage à 150 exemplaires numérotés. Exemplaire unique sur Japon nacré, numéroté 1, comprenant les 12 dessins originaux à la mine de plomb rehaussés de crayons de couleurs, tous signés d'André Collot, 5 états des gravures : premier état en noir, état avec remarque, état définitif en noir, épreuve sur cuivre barre et état définitif en couleurs et 6 sur 8 des bois originaux des vignettes en noir. Les 12 cuivres barrés, indiqués à la justification, ne sont pas joints. Belle illustration, très libre, dans la manière habituelle de Collot, grand pourvoyeur de l'illustration érotique du début du XX^e siècle. Estimation : 3 000/4 000 euros. »
http://americanaexchange.com/NewAE/auction/auctiondetail.asp?page=12&par=&m=12&aid=1708

La Guillette à vendre
La Guillette, pavillon de Guy de Maupassant à Etretat, est en vente pour la coquette somme de 1 148 000 euros. L’annonce de la société SeLoger indique que la demeure de 240 m² et de 9 pièces (dont 6 chambres) est bâtie sur un terrain de 4800 m². Plusieurs photographies de la maison, de la caloge où logeait Tassart, et du parc sont accessibles sur le site immobilier.
http://www.seloger.com/194231/21423719/detail.htm

J’ai des nouvelles de Maupassant
Le théâtre de la presqu’île (Grandville) donnera des représentations de la pièce : « J’ai des nouvelles de Maupassant » avec Jean-Charles Lenoël mis en scène par Michel Vivier, du mardi 16 au samedi 20 janvier 2007 à 20h30 au Théâtre Au Radiant de Calluire-et-Cuire (69). Un garçon de café raconte trois récits de Maupassant : « La Ficelle », « L’Aventure de Walter Schnaffs » et « Ce cochon de Morin ».
Tarifs : 15 euros (normal), réduit : 14 euros ; jeunes  : 11 euros.
Renseignements et réservations :
Au Radiant
1 rue Jean Moulin
69300 Calluire-et-Cuire
Tél. : 04.78.23.84.02
http://theatre-presquile.com/index.php?page=j-ai-des-nouvelles-de-maupassant
http://www.leradiant.com/Saison0607/Spectacles/Nouvelles-Maupassant.php
http://www.leradiant.com/Pratique/Infos-pratiques.html#contacts

Intervention
Un colloque « Ethnologie, Art, Littérature : Le Moment réaliste », qui s’inscrit dans le programme du GARAE/LAHIC « Le patrimoine de l’ethnologie », aura lieu à Carcassonne les 18 et 19 janvier 2007. Vendredi 19, à 14h, Francis Zimmermann présentera une communication sur « Disciples de Maupassant en langue malayalam dans les années 1930-1970 : les voies littéraires du Communisme au Kerala ».
Lieu du colloque : Maison des mémoires, rue de Verdun.
Responsables : Daniel Fabre et Marie Scarpa.
Pour tout renseignement, consulter le site Fabula.
http://www.fabula.org/actualites/article16673.php

Maupassant dans l'enseignement secondaire
L’analyse de « Boule de suif » par ordinateur
Michel Lemaire, professeur retraité de l’université d’Ottawa, propose une étude de la nouvelle « Boule de suif » assistée par ordinateur. La méthode d'analyse consiste à placer un texte dans un tableur (comme Excel) afin de l'annoter et de tirer des déductions de ces annotations. L'Astrolabe est une revue électronique spécialisée dans la théorie et la méthodologie de la recherche littéraire assistée par ordinateur. Cette étude intéressera sans doute les enseignants du secondaire qui pourront trouver une utilisation en classe.
http://www.arts.uottawa.ca/astrolabe/articles/art0050/Tableaux1.htm

Maupassant ? Spectacle scolaire
La Compagnie des Transports Imaginaires de Bourges, dirigée par Dominique Tchoryk, continue sa tournée dans les établissements scolaires avec la pièce « Maupassant ? » créée le 19 mars 1999. Les prochaines représentations auront lieu :
- Mardi 16 janvier 2007 à 15h30 au Lycée Bel Air de Tinténiac (35)
- Mercredi 17 janvier à 10h30 au Collège Gwer-halou de Callac de Bretagne (22)
- Jeudi 18 janvier à 9h00 au Collège Max Jacob de Josselin (56) et à 15h au Collège Brizeux de Lorient (56).
- Vendredi 19 janvier à 14h au Collège Saint Paul de Rézé (44).
- Lundi 22 janvier à 9h au Collège Maurice Chastang de St Genis de Saintonge (17).
- Mercredi 24 janvier à 10h40 du Collège de Boulogne sur Gesse (31)
- Jeudi 25 janvier à 9h au Collège Pierre Blanquie de Villeneuve de Marsan (40)
- Mardi 30 janvier à 15h au Collège Beauregard de Cran Gevrier (73)
- Mercredi 1^er février à 10h au Collège Saint Louis de Crest (26)
- Vendredi 2 février à 14h au Collège Michel de L’Hospital de Riom (63)
- Vendredi 9 février à 9h au Collège Theillard de Chardin de Chamallières (63)
Pour lire des commentaires sur le spectacle :
http://sp-maupassant.skyblog.com
Pour tout renseignement :
Compagnie des Transports Imaginaires
19 Bis Rue Nicolas Leblanc
18000 BOURGES
Tel/fax : 02 48 65 21 51
e-mail : theatrecti@free.fr ou consulter le site de la compagnie
http://membres.lycos.fr/theatrecti/

Boule de Surf, Maupassant sur le Web
Maupassant et le dandysme
Le site de François-Xavier d’Arbonneau « Savoir-vivre ou mourir », consacré au dandysme, accorde une page entière à Maupassant et à Bel-Ami. On la trouvera dans « Savoir-vivre ou mourir », « Aux confins du dandysme ». Malgré quelques naïvetés, « Maupassant fils de Flaubert », le site est très joliment fait.
http://francois.darbonneau.free.fr/
http://francois.darbonneau.free.fr/index2.html

Nouveautés sur le site espagnol Guy de Maupassant
José Manuel Ramos, Webmaster du site espagnol « Guy de Maupassant », a récemment traduit et mis en ligne plusieurs études sur Maupassant. On se reportera à la section « Novedades », « Obras sobre Maupassant » ou « Biografía » afin de consulter les fichiers disponibles au téléchargement. A signaler que la plupart des pages et documents de Maupassantiana sont traduits très rapidement après leur mise en ligne...
http://www.iesxunqueira1.com/maupassant/Novedades.htm

Nouveautés sur le site Maupassantiana
Le site Maupassantiana continue son développement. Les parties Bibliographie chronologique et thèses en cours sont régulièrement enrichies de nouvelles références. Bientôt, sera mise en ligne la pièce de théâtre : Musotte, en cours de saisie. On pourra la consulter d’ici la fin du mois en cliquant dans la rubrique Œuvre.

Histoire du vieux temps
En février 1887, Maupassant écrit à son éditeur Victor Havard pour recommander un écrivain :

     « Mon cher ami,
     M. Samuel Frère a publié dans le Journal de Rouen une série de nouvelles remarquables qui feraient un charmant volume.
     Je vous adresse l'auteur et son œuvre. Recevez l'un et lisez l'autre ; et j'espère bien que vous les garderez l'un et l'autre.
     Je vous serre très cordialement les mains.

(lettre n°447, reçue le 15 février 1887, Correspondance, éd. Jacques Suffel, Evreux, Le Cercle du Bibliophile, 1973, t. II, p.248.)

En lisant
- Frank Harris, « Souvenirs sur Guy de Maupassant », dans Ma vie et mes amours, traduit de l'anglais par Madeleine Vernon et Henry-D. Davray, Paris, Gallimard, 1960, p.321-323.
     « C'est à cette débordante vigueur qu’il faut, je crois, attribuer ses jugements si bienveillants sur ses contemporains, et même sur ses rivaux ; il allait jusqu’à reconnaître du génie à Bourget ! Le seul écrivain que je l’entendis critiquer avec parti pris fut Edmond de Goncourt dont il tournait en dérision l’« écriture artiste ».
     – Les gens qui n’ont rien à dire sont, bien entendu, très méticuleux sur la façon de le dire, observait-il. C'est quand la vision exacte et profonde de la vie se conjugue avec la passion du mot juste, comme chez Flaubert, que vous découvrez un Maître.
     Goncourt se montra encore plus partial, et, après la mort de Maupassant, il lui dénia avec violence le titre de grand écrivain.
     Dès qu’il se fut rendu compte que ma force égalait au moins la sienne, Maupassant se mit à m’entretenir d’exploits amoureux. Comme beaucoup de Français, il étalait une étrange vanité, mais qui ne s’appliquait jamais à ses plus nobles facultés.
     – La plupart des gens, arguait-il, ont tendance à croire que les basses classes, les ouvriers et surtout les matelots sont de meilleurs amants que les hommes qui mènent une vie sédentaire ; je ne partage pas le moins du monde cet avis. L’écrivain ou l’artiste, qui prend de l’exercice et qui veille à rester en bonne santé, est un combattant bien supérieur au terrassier ou au laboureur dans la joute amoureuse. Il faut de l’intelligence pour donner à un autre être la plus grande somme de jouissance.
     Nous discutâmes, tous deux, longuement sa thèse. Je soutins que la jeunesse est la condition principale du succès, mais, à notre étonnement, il ne partagea pas du tout notre opinion et pour clore la discussion, il parla comme d’une chose toute naturelle de douze étreintes consécutives. En riant, je lui rappelai Monsieur Six-Fois de Casanova ; mais il ne reconnut pas même cette voix autorisée.
     – Six fois ! s’écria-t-il, mais j’ai fait cela en une heure !
     Je suppose que cet exploit a trait à l’histoire que mon ami Georges Maurevert me conta, à Nice, en 1923. Maupassant, poussé à bout par l’incrédulité de Flaubert, se rendit, une fois, dans une maison close, escorté d’un huissier auquel il fit constater qu’en une heure, il avait possédé six pensionnaires. Flaubert, si singulièrement continent, s’intéressait pourtant à l’extraordinaire virilité de Maupassant.
     On peut ajouter foi ou non à cette anecdote ; elle ne constitue pas, en tout cas, une injure envers Maupassant ou encore moins envers les mœurs françaises contemporaines ; Lumbroso, lui-même, narre dans un de ses ouvrages, qu’à Rome, Maupassant et Bourget se rendirent dans un bordel de bas étage ; là, Bourget, assis dans un coin, se tint coi, raillé par Maupassant qui disparut aussitôt en compagnie d’une fille.
     Plus d’une fois, Maupassant me raconta qu’il pouvait prolonger l’étreinte à son gré.
     – C'est une faculté dangereuse, lui dis-je, pensant qu’il se vantait.
     – Pourquoi dangereuse ?
     – Parce qu’on arrive facilement à l’épuisement, à la dépression nerveuse. Sûrement, ce n'est, de votre part, qu’une métaphore…
     – Pas le moins du monde, insista-t-il, et quant à l’épuisement, je ne comprends même pas ce que vous voulez dire. Trois fois ou vingt fois, je n’en éprouve pas plus de fatigue.
     – Voilà qui enfonce Casanova !
     Au moment de nous séparer pour la nuit, Ffrench me déclara que tout cela n’était que vantardise de Français.
     – Ils cherchent toujours à vous épater, insistait-il.
     Mais je n’en restais pas convaincu ; Maupassant m’avait donné une impression de véracité, et il était certainement d’une vigueur peu commune. »

(La suite dans le prochain numéro de Maupassantiana)

- Maurice Denuzière, Le Cornac, roman, Paris, Fayard, 2000, p.236-237.
Cyril Loubin fait plusieurs petits métiers. Il devient assistant d’un maître-plombier. Il va déboucher une canalisation chez une jeune femme.
     « – Quand on n’a pas de mari pour bricoler et cinq enfants, donc beaucoup de linge à laver, et que la machine refoule au lieu d’évacuer, c'est la poisse ! soupira la jeune mère de famille ; en plein désarroi.
     Plus que jolie, encore enveloppée à cette heure matinale d’un simple kimono japonais, elle ne manquait ni de charme ni de sex-appeal.
     – Vous en faites pas, ma petite dame ? Le plombier peut remplacer le mari… au moins pour le bricolage. On va vous arranger ça, dit l’artisan.
     Athlète genre Bel-Ami, moustache conquérante, œil de velours, nature aussi charmeuse que virile, l’homme avait tout de suite éveillé la sympathie du désoccupé. »

Qui sait ?
D’après la lettre ci-dessus (rubrique Histoire du vieux temps), Maupassant recommanda Samuel Frère à son éditeur. Qui aurait des renseignements sur cet auteur normand ?

(Réponse à la revue qui transmettra)