Le recueil comporte deux versions. En 1890, il est composé de huit contes, en 1904 de onze contes, parus dans les journaux et remaniés. Vous trouverez ci-dessous les récits courts contenus dans le volume suivis, entre parenthèses, du périodique où ils furent reproduits et de la date de publication en préoriginale.
Edition originale, Paris, Victor Havard, 1890, 338 p.
- « L'Inutile Beauté » (L'Echo de Paris, du 2 au 7 avril 1890)
- « Le Champ d'oliviers » (Le Figaro, les 14 et 23 février 1890)
- « Mouche » (L'Echo de Paris, 7 février 1890)
- « Le Noyé » (Le Gaulois, 16 août 1888)
- « L'Epreuve » (L'Echo de Paris, 13 juillet 1889)
- « Les Vingt-Cinq Francs de la Supérieure » (Gil Blas, 28 mars 1888)
- « Un cas de divorce » (Gil Blas, 31 août 1886)
- « Qui sait ? » (L'Echo de Paris, 6 avril 1890)
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Edition augmentée, Paris, Ollendorff, 1904, 301 p.
- « L'Inutile Beauté » (L'Echo de Paris, du 2 au 7 avril 1890)
- « Le Champ d'oliviers » (Le Figaro, les 14 et 23 février 1890)
- « Mouche » (L'Echo de Paris, 7 février 1890)
- « Le Noyé » (Le Gaulois, 16 août 1888)
- « L'Epreuve » (L'Echo de Paris, 13 juillet 1889)
- « Le Masque » (L'Echo de Paris, 10 mars 1889)
- « Un portrait » (Le Gaulois, 29 octobre 1888)
- « L'Infirme » (Le Gaulois, 21 octobre 1888)
- « Les Vingt-Cinq Francs de la Supérieure » (Gil Blas, 28 mars 1888)
- « Un cas de divorce » (Gil Blas, 31 août 1886)
- « Qui sait ? » (L'Echo de Paris, 6 avril 1890)
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